vendredi 29 avril 2011

Deux lesbiennes sénégalaises tournent un film porno dans leur appartement …

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ZOSS S’ERIGE EN GARDE-FOU DES LUTTEURS DES PARCELLES ASSAINIES «J’ai envie de la faire boucler à Baye Mandione»

Comme un cri du cœur, Zoss réclame son combat contre Baye Mandione. Ce dernier a déclaré la guerre aux lutteurs des Parcelles Assainies. C’est le showman qui s’érige en garde-fou  des Parcellois.
Après sa victoire sur Moussa Dioum de l’écurie Parcelles Mbollo, Baye Mandione de Thiaroye Gëm Sa Bopp a jeté une pierre dans le jardin des Parcelles Assainies. Même s’il a été déclaré vaincu devant Modou Lô, Baye Mandione se convainc toujours que la victoire est sienne. «Après Modou Lô, Moussa Dioum est la seconde proie des Parcelles Assainies que j’ai abattue», a crié tout haut Ndione. Faux, rétorque Zoss. «Je suis des Parcelles et Baye Mandione ne m’a pas encore affronté. Le cas des lutteurs des Parcelles, j’en fais une affaire personnelle. Si Baye Mandione a le courage de m’affronter», dit Zoss. «D’ailleurs, puisqu’il le dit, je veux l’affronter et le battre pour lui faire avaler les mots déplacés qu’il a balancés à l’endroit des lutteurs des PA. Ndione dit qu’il est le bourreau des lutteurs des Parcelles Assainies. Au contraire, c’est moi qui suis le bourreau des lutteurs de Thiaroye. J’ai affronté Khadim Ndiaye 2. Ce combat été très dur, mais n’a finalement pas abouti. J’ai battu Issa Pouye qui est le mentor de Baye Mandione. Il ne me reste qu’à me payer le scalp de Baye Mandione. J’ai envie de la lui faire boucler. S’il est toujours dans cette logique de faire la chasse aux lutteurs des Parcelles Assainies, je me dresse sur son chemin.  Il est ma seule préoccupation. Je veux le battre avant la fin de cette saison», poursuit le Showman. Qui jure la main sur le cœur que Baye Mandione a une peur bleue de lui. «Avant son combat contre Moussa Dioum, c’est moi qu’on lui avait proposé, il a refusé. Entre-temps, j’ai battu Gouy Gui et Issa Pouye. Je me demande pourquoi il a refusé de m’affronter. Dans tous les cas, il ne peut pas me sous-estimer. Au contraire c’est moi qui devrais refuser de l’affronter parce qu’il n’est pas plus côté que moi. Je suis à un niveau où aucun lutteur ne peut m’éviter. Mon combat contre Baye Mandione est tout à fait logique.»
La confiance inouïe de Zoss ces derniers temps surprend plus d’un. Après avoir démystifié Gouy Gui, enfoncé Issa Pouye dans les eaux troubles, Zoss est sûr de finir la saison en beauté. «J’ai pris une option très sérieuse pour toute la saison. Je ne me prépare pas pour un seul combat. La preuve, après ma victoire sur Gouy Gui, j’ai repris les entraînements le lendemain. C’est pourquoi quand on m’a proposé un autre combat face à Issa Pouye, je n’ai pas eu de problème de forme. C’est pareil pour cette fois-ci. J’ai repris les entraînements le lendemain de ma victoire sur Issa Pouye parce que j’ai l’intention de livrer un autre combat avant la fin de la saison. Et je n’ai que Baye Mandione dans ma ligne de mire. J’ai envie de lui faire avaler ce qu’il a dit sur les lutteurs des Parcelles Assainies.» Zoss semble se prendre très au sérieux au point de fermer la porte à tout autre adversaire pour cette fin de saison. «Je veux Baye Mandione, rien que Baye Mandione pour boucler ma saison en beauté», cela a le mérite d’être clair.

Scandale à Diogué Dans Le Kafountine : Des Caisses Bourrées De Chair Humaine Saisies

Une affaire rocambolesque défraie la chronique à Diogué, un patelin situé dans le département de Bignona et non loin du célèbre centre de pêche de Kafountine. De sources dignes de foi, des caisses bourrées de chair humaine auraient été saisies entre les mains de ressortissants de la sous-région, installant la panique parmi les populations.

Tout est parti de l’enterrement d’un jeune du village dans le cimetière de la localité. Dans la pure tradition du patelin, nous renseignent nos sources. Quelques jours après, les habits du défunt sont retrouvés, enfilés par un ressortissant de la sous-région. Un geste surprenant, poussant les autochtones à lui administrer une sévère correction. Ils mènent leur propre enquête, pour en savoir un peu plus sur le comportement étrange de cet « étranger », renseignent des sources locales. C’est sur ces entrefaites, révèlent nos sources, qu’ils auraient découvert huit caisses bourrées de chair humaine, soigneusement cachées dans un endroit, non loin de la mer. A en croire, nos sources, elles devaient être transportées dans un pays de la sous-région pour une cérémonie ésotérique. Cette découverte macabre (plusieurs cadavres) a installé la panique, parmi les populations de Diogué. D’ailleurs, selon nos sources, la gendarmerie de Bignona aurait arrêté trois suspects, originaires d’un pays de la sous-région. Nos sources soulignent également que, ces ressortissants de la sous-région, profiteraient de l’insécurité ambiante de la zone pour se livrer à une « véritable chasse à l’homme » qui ne dit pas son nom. Et d’ajouter que « plusieurs disparitions de gens de la localité ont été constatées, mais nous mettions tout sur le compte de la guerre qui y sévit » expliquent nos interlocuteurs. Nos tentatives d’entrer en contact avec les pandores de Bignona ont été infructueuses. Affaire à suivre.

Diaganiao : L’une Des Sorcières Refuse De Livrer Son Fils Pour Payer Sa Dette

Une affaire de sorcellerie défraie la chronique dans un village situé dans la communauté rurale de Ndiaganiao. Une affaire qui a atterri à la brigade de gendarmerie de Mbour. Deux femmes qui  prétendent être des sorcières ont juré devant le commandant de brigade à cesser leurs pratiques de sorcellerie sous peine d’être emprisonnées.
Ce qui se passe dans ce village est incroyable mais vrai. Deux femmes mariées sont au cœur d’une affaire de sorcellerie. L’une d’elles, en l’occurrence S.D, réclame une dette à sa voisine. Une dette qui, selon S.D, remonte à plusieurs années.  S.D avait prêté  à C.F son enfant pour être « mangé». Cette dernière devait rembourser  en offrant à son tour son fils comme régal  à S.D. Mais, selon la plaignante, C.F n’a pas voulu respecter les termes du contrat après «mangé» l’enfant de S.D.
Assaillie par sa créancière, C.F finit par se proposer pour épargner son fils. Mais S.D tient coûte que coûte à prendre l’âme du fils, celle de la mère ne l’intéresse pas. Lasse de ne pas avoir ce qu’elle veut, elle «pénètre» le fils de  C.F sans l’aval de celle-ci.  Ce dernier tombe dans un état comatique. Sachant ce qui s’est passé, C.F. va voir le chef de village pour lui demander d’intervenir. En présence des maris des deux dames, le chef de village supplie S.D à lâcher l’âme du fils de C.F.  Ce que S.D a fini par faire devant la persistance du chef du village.  Le commandant de brigade de Mbour informé de cette affaire convoque les deux dames et le chef de village. Devant l’homme en bleu, S.D raconte l’affaire qui l’oppose à C.F et soutient mordicus que s’il a essayé de prendre l’âme de son fils, c’est parce qu’elle a failli à sa promesse après avoir pris en créance son enfant il y a quelques années.
Face au commandant de brigade Ousseynou Bâ, toutes les deux ont avoué s’adonner à des pratiques de sorcellerie. Sous la menace du  chef de brigade de les envoyer en prison, elles ont accepté de cesser ces pratiques. Aux dernières nouvelles, le fils de C.F est complètement rétabli et vaque à ses occupations.
L’année dernière, à la même période à Guitire, toujours dans la communauté rurale de Ndiaganiao, une sorcière s’était donnée la mort en se jetant dans un puits après avoir signé devant le sous-préfet un document pour libérer les âmes de ses victimes.

ENGROSSEE PAR UN GARDE PENITENTIAIRE A LA MAC DE DIOURBEL : Awa Kébé jette son enfant dans les toilettes de la prison

Awa Kébé comparaissait pour la 2e fois devant la Cour d’assises de Thiès, pour les mêmes faits ; elle avait déjà été condamnée à 5 ans de travaux forcés pour infanticide.
 C’est au moment où elle  purgeait sa peine à la Mac de Diourbel qu’elle est tombée enceinte des œuvres d’un garde pénitentiaire du nom de Mbaye Diaw. Voulant se débarrasser du nouveau-né, elle avait glissé l’enfant dans le trou d’une chaise turque. Les faits se sont déroulés le 22 avril 2009. Le commandant de la gendarmerie de Diourbel avait été informé par le district sanitaire de la commune que la dame Awa Kébé, en détention provisoire à la Mac de Diourbel, qui était enceinte, avait tenté de se débarrasser de son nouveau-né en le jetant dans les toilettes de la prison. Il s’agissait d’un enfant de sexe masculin, âgé de 7 mois environ.
Entendue par les enquêteurs, elle a indexé un agent pénitentiaire qui serait l’auteur de la grossesse. À l’interrogatoire, l’accusée a reconnu les faits avant de revenir sur le film de son accouchement. Elle a laissé entendre que c’est à son retour du marché, pour préparer le repas du personnel de l’administration, qu’elle a senti des maux de ventre. Elle est entrée dans les toilettes où elle a accouché d’un enfant vivant. Elle a par la suite fait glisser l’enfant dans le trou  avant de verser un seau rempli d’eau pour l’évacuer dans la fosse septique.
Nogaye Guèye, sa codétenue, venue témoigner, a déclaré à la barre : «Ce jour, j’avais reçu une visite à la Mac. Ayant une diarrhée, je me suis excusée. J’ai couru pour rejoindre les toilettes, mais j’ai trouvé la porte fermée. J’ai frappé avec insistance ; je suis restée quelques minutes. Subitement, Awa Kébé a ouvert la porte». Elle poursuit : «Quand je suis entrée dans les toilettes, j’ai vu que la chaise était propre, mais une odeur nauséabonde et suffocante se dégageait».
Et lorsqu’elle a entendu les cris d’un bébé, elle pris la tangente pour aller avertir  les gardes pénitentiaires. Aussitôt, ils se sont présentés pour procéder à la vérification. Waly Mbodj, chef de poste et chargé de la supervision des visites, après constat, a essayé d’introduire sa main à l’intérieur pour extirper l’enfant. Ce qui était impossible. Il a alors fait appel à des détenus qui ont scié le tuyau. Ils ont vu du sang suinter du tuyau et l’enfant était indemne. Plusieurs lésions étaient visibles sur sa jambe droite, avec une fracture au niveau du fémur.
Nogaye Guèye n’en croyait pas ses yeux. À la barre, elle a affirmé qu’elle n’a jamais su qu’Awa Kébé était enceinte, et des œuvres d’un garde pénitentiaire.
Âgée aujourd’hui de 32 ans, Awa Kébé était devenue veuve en 2004. Elle a eu trois enfants avec son ex-mari et deux hors mariage.
Elle a déclaré à la cour que l’auteur de sa grossesse lui donnait souvent des comprimés à boire pour provoquer l’avortement.
Selon l’accusée, c’est au moment où elle préparait le repas dans la cuisine du régisseur que Mbaye Diaw, profitant de l’absence du chef et des autres, lui a proposé des rapports sexuels. Elle a accepté, parce que, dit-elle, «j’avais son complexe. Mais aussi je sentais le besoin, même si c’était pour  une minute». Elle est ainsi tombée enceinte. Mais durant toute sa grossesse, Mbaye Diaw la sommait de ne rien dire à personne. «Si l’affaire éclate, cela risque de briser ma carrière», disait-il. Pour le protéger, dit l’accusée, le garde pénitentiaire a été affecté à Ziguinchor
L’avocat général, Salobé Gningue estime qu’il n’y a pas de doute, l’accusée avait l’intention réelle de tuer son enfant. Il a demandé une condamnation à 7 ans de travaux forcés.
Me Assane Dioma Ndiaye, qui assurait la défense d’Awa Kébé, a demandé à la cour de requalifier les faits en délaissement d’enfant et d’écarter l’infanticide.
La cour a finalement condamné Awa Kébé à 7 ans de travaux forcés

samedi 23 avril 2011

Indonésie : un député démissionne après avoir été surpris en train de regarder du porno

Le député Arifinto, encarté à un parti religieux conservateur en Indonésie, a démissionné de ses fonctions lundi après avoir été surpris en train de regarder des images porno lors d'une séance du Parlement.
Arifinto, en Indonésie, appartient à un parti religieux conservateur. Pourtant, l'homme a été surpris vendredi dernier en train de visionner des images pornographiques sur sa tablette numérique, et cela en pleine séance du Parlement !
face à la polémique, il a choisi de démissionner lundi, déclarant lors d'une conférence de presse : "En toute connaissance de cause et sans être forcé par quiconque, pour le bien et l'honneur de mon parti, je présente immédiatement ma démission (...) Je vais chercher à m'améliorer en récitant le Coran, demander des conseils auprès du clergé, donner l'aumône aux pauvres et faire le bien pour atteindre la gloire dans la vie ici-bas et au-delà".
Cette décision intervient seulement quelques jours après l'affaire "des images porno" puisque le député Arifinto avait été surpris en train de regarder une image pornographique vendredi dernier, explique l'AFP. L'homme s'était retrouvé en Une d'un journal local, provoquant une vague de soulèvement sur Twitter.
Si de son côté, le député assure qu'il est tombé sur cette image en cliquant par erreur sur un lien présent sur un message, le Conseil d'éthique du Parlement a expliqué qu'une enquête était en cours.

DIALACOTO : L’émigré retrouve son épouse avec une grossesse de 7 mois

A. Keïta, émigré établi en Italie, n’oubliera pas de sitôt son retour au bercail. Après 3 ans d'absence, il est rentré à Dialacoto. Mais grande fut sa surprise de constater l’état de grossesse de son épouse Khady D. qu’il a répudiée.
Fatiguée d’attendre son époux depuis trois ans, sans argent et sans travail, Khady. D, âgée de 28 ans et mère de deux garçons, a noué une relation sentimentale avec un menuisier. Puisque, dit-elle, cet homme la soutenait financièrement et moralement. Elle allait souvent lui rendre visite chez lui les après-midi. De temps à autre, elle entretenait, néanmoins, des relations intimes avec son partenaire menuisier. Quelque temps plus tard, elle est tombée enceinte pour la simple raison que son partenaire ne se protégeait pas. Alors, elle décide de s’en ouvrir à son partenaire qui s’engage à s’occuper d’elle jusqu’à son accouchement, nonobstant le délit d’adultère qu’ils ont commis.
Comme toute chose a une fin, le pot aux roses finit par être découvert avec l’arrivée de son époux émigré, le 13 avril dernier. A. Keïta qui n’en croyait pas ses yeux en voyant le ventre bedonnant de son épouse, appelle la famille de cette dernière pour une séance d’explications. Se sentant responsable de son acte, Khady avoue son acte délictuel devant sa famille et son époux et indexe son menuisier comme étant l'auteur de sa grossesse. La réaction de l'époux émigré est simple, il la répudie et la chasse avec ses deux enfants de la maison conjugale. Une plainte est déposée chez les pandores de Dialacoto par l’époux contre l’amant.

vendredi 22 avril 2011

Acculés par la pression foncière : Les serpents errent aux alentours de l’aéroport

Les habitants des alentours de l’aéroport de Dakar, de Yoff ou encore de la Foire, courent un danger permanent en cohabitant, au quotidien, avec des serpents. Ces derniers acculés par les constructions tous azimuts sont en divagation et il leur arrive même de s’introduire dans des maisons, selon le chef du centre antipoison de Dakar. Attention aux habitants qui crèchent dans les alentours de l’aéroport Léopold Sédar Senghor de Dakar, de Yoff ou encore de la Foire, envahis par les nouvelles habitations ! L’on fait état de la présence massive et cachée de serpents, dans ces zones jadis verdoyantes. C’est le chef du centre antipoison de Dakar qui a lancé cette alerte hier, au cours d’un point de presse, en prélude à la 4e Conférence internationale sur les envenimations par morsures de serpents et par piqûres de scorpions en Afrique, qui s’ouvre lundi prochain à Dakar. Le Pr Amadou Diouf indique que son centre ne cesse d’enregistrer de complaintes d’habitants des zones citées plus haut, du fait de la présence de serpents. Mais les alentours de l’aéroport demeurent le terreau fertile, pour ces reptiles en divagation à cause des nouvelles constructions. «Maintenant, les serpents frappent à la porte des maisons situées à quelques encablures de l’aéroport», révèle le Pr Diouf.
Acculés jusque dans leurs derniers retranchements par le béton, ces serpents cherchent refuge et se ruent vers les habitations les plus proches de leurs anciennes gîtes. Mais à défaut de les évacuer de ces milieux, la seule mesure de prévention trouvée par le centre antipoison est l’usage du grésil devant les habitations. Le serpent ne supportant pas cette odeur, le Pr Diouf estime que cela peut être un moyen efficace pour les éloigner des humains. Sauf que, dans ces conditions, le danger peut devenir encore plus permanent, dans la mesure où ils se sentiront étouffés et de fait, dangereux.
Au-delà de ces zones nichées dans la capitale, le chef du centre antipoison cite les régions sud du pays. Mais le record de morsures et autres attaques de serpent est battu par la région de Kédougou, à cause no­tam­ment de sa pluviométrie abondante et de sa proximité avec le parc Niokolokoba. D’ailleurs, une étude réalisée dans la zone fera l’objet d’une communication, à l’occasion de la conférence internationale qui se tiendra au Sénégal, pour la 2e fois, après celle de 2001. Aussi, les régions de Kaolack, Fatick ne sont-elles pas épargnées par cet envahissement de ces reptiles aux morsures meurtrières.
Bref, fait remarquer le Pr Amadou Diouf, c’est tout le pays qui est infesté par les serpents d’où justement, la pertinence de son centre qui s’est nouvellement doté d’un numéro vert (818 00 15 15), pour prendre en charge précocement les cas de morsure et autres piqûres de scorpions, au Sénégal. A propos de la prise en charge médicale, le chef du centre antipoison de Dakar indique que le coût de l’anti-venin revient aux victimes entre 75 000 et 100 00 francs Cfa, selon les officines. Il est même très fréquent, déplore-t-il, de voir ce produit arrivé à la date de péremption, parce qu’inaccessible aux populations. Il en appelle ainsi, aux privés pour un partenariat avec le public, afin d’alléger le prix de ce médicament et éviter le décès de 1,5 habitant sur 100 000 enregistré au Sénégal, par an.

ABANDONNE DANS UN SACHET EN PLASTIQUE : Un nouveau-né découvert par un Sdf dans une poubelle

Un nouveau-né a été retrouvé hier dans un sachet en plastique entassé dans une poubelle sur la rue qui mène vers la gare maritime internationale en venant de la Place de l’Indépendance, juste en face de la Direction des Douanes. Le nouveau-né était vivant. En effet, c’est un Sdf, qui fouillait la poubelle qui était posée juste à côté d’un magasin de fleurs sis sur la rue, qui a trouvé le nouveau-né dans les ordures. Il a, par la suite, alerté un passant qui, à son tour, a alerté les policiers qui étaient à côté pour réguler la circulation. D’ailleurs, ce sont ces agents de la Police qui ont appelé les sapeurs-pompiers qui sont venus récupérer le bébé. Selon un témoin, le Sdf a failli même blesser le bébé avec l’objet en fer qu’il utilisait pour faire éparpiller les tas d’ordure. Les nombreux passants qui sont attirés par la foule qui s’est formée autour de la poubelle n’en reviennent pas. Certains ont même qualifié l’auteur de cet acte «ignoble», de personne sans cœur. Mais, personne n’a pu repérer celle qui a mis le nouveau-né dans cet endroit. Les nombreux marchands ambulants qui s’activent dans les alentours, n’ont eux non plus rien vu. Il faut préciser qu’en plus du sachet en plastique, il y avait un morceau de tissu blanc qui couvrait le visage du nouveau-né.

Elle s’immole parce que son mari est un coureur de jupons

Son mari fait la cour à une autre femme, Y. D se suicide en s’immolant par le feu. Cela s’est dans un village du nom de Keur Saib qui est devenu un quartier officiel de la commune de Thiès.
Selon le quotidien Walf Grand’Place, la dame qui a eu des nouvelles comme quoi sa son époux était un coureur de jupons a manifesté son courroux d’une manière atroce. En s’aspergeant de pétrole pour ensuite se faire hara-kiri. Brûlée à 45 %, la dame qui a été acheminée à l’hôpital Amadou Sakhir Ndiéguene de Thiès n’a pas survecu à ses brûlures. Elle a rendu l’âme le même jour, c’est-à-dire le 11 avril dernier. Quant au mari dont la version des faits n’a pas été recueilli, on signale qu’il a assisté sa femme jusqu’au dernier souffle.

Wade Persiste Et Signe : "mon Père A Vécu 105 Ans, Ma Grand-mère 120 Ans, Donc J'ai Encore Du Temps Devant Moi"

Dans un entretien à «La Tribune», le président du Sénégal prend position sur les troubles qui secouent l'Afrique de l'Ouest, du Burkina Faso à son propre pays. Il s'explique sur sa candidature, à 84 ans, pour un troisième mandat. Face à la flambée des prix alimentaires, il appelle les pays du G20 à créer une Organisation Mondiale de l'Agriculture, qui se substituerait à la FAO.

 

 

Dans votre « appel de Dakar » destiné à fournir des propositions lors du G20 agricole qui se tiendra en juin en France, vous appelez à la création d'une Organisation Mondiale de l'Agriculture (OMA). Pourquoi ? 
La situation est intenable et nécessite des changements profonds. La libéralisation croissante des échanges agricoles dans un contexte de démantèlement des mécanismes de régulation, et la volatilité des prix des matières premières agricoles, jouent un grand rôle dans l'insécurité alimentaire mondiale. La crise financière de 2008-2009 a donné lieu à un regain de la coopération internationale pour sauver les banques de la faillite. Il faut faire la même chose pour l'agriculture. Cette OMA devrait être un organe de veille et de gestion de crise directement rattaché au G20, et qui viendrait se substituer à l'Organisation des Nations-Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO). Cette organisation est inutile. Rendez-vous compte : 70% de ses budgets passent au paiement de la masse salariale ! Cette nouvelle institution devra être en Afrique, car ce continent doit être davantage associé aux problématiques de l'agriculture, et Dakar est bien évidemment candidate pour l'accueillir. J'ai l'intime conviction que tous les efforts dans l'agriculture n'auront des résultats que si on instaure une gouvernance mondiale. C'est pourquoi je tiens au soutien de Nicolas Sarkozy pour porter ces propositions lors du G20.
 
Quels sont les défis de l'agriculture sénégalaise ? 
Notre agriculture, grâce notamment aux subventions que j'ai mis en place pour soutenir les agriculteurs face à la montée des prix, est de plus en plus productive et performante. Il nous faut atteindre l'autosuffisance alimentaire dans tous les domaines et développer les exportations. Un contrat sur cinq ans est sur le point d'être signé avec la Chine à partir de 2012 pour exporter de l'arachide. Nous avons également un contrat avec l'Inde pour produire dès 2011, au Sénégal, 1,1 million de tonnes de riz, soit 500 000 tonnes pour l'exportation en plus des 600 000 tonnes nécessaires à notre alimentation. Pour moderniser notre économie, nous devons développer la transformation des matières premières agricoles, telles que l'arachide ou les fruits, pour pouvoir les exporter sur le marché international. Mon rêve est que les Français mangent à l'apéritif des cacahuètes qui proviennent intégralement du Sénégal.
 
Comment peut s'organiser la coopération en Afrique de l'Ouest maintenant que la tension en Côte-d'Ivoire pourrait retomber ? 
Malgré de grandes potentialités de développement, il n'existe pas de réelle politique économique dans la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) car les disparités sont très grandes entre les pays. Je pense qu'une intégration économique réussie passe par la mutation de la CEDEAO en Confédération des Etats de l'Afrique de l'Ouest. Ce serait un grand gouvernement fédéral chargé de mettre en place, par une politique de consensus, des orientations politiques et économiques pour l'ensemble des quinze pays de la zone. Tous les ministres de chaque Etat éliraient dans leur domaine -agriculture, industrie, environnement...- un représentant pour composer le gouvernement de la Confédération. Ce système permettrait à chaque pays d'être représenté. Je compte proposer ce projet aux autres Etats lors du prochain sommet de la CEDEAO en janvier prochain, mais j'en ai déjà parlé à mes homologues et j'ai reçu un accueil très enthousiaste.
 
Depuis février, le Burkina Faso est en proie à de violentes contestations. Faut-il que le pays évolue vers davantage de liberté et de démocratie ?  
La situation est extrêmement préoccupante. J'apporte bien évidemment tout mon soutien à Blaise Compaoré, dont je suis proche et dont je loue les réalisations économiques. Je suis en contact avec lui, je lui ai parlé la semaine dernière lors d'une conversation à trois avec Amadou Toumani Touré, le président du Mali. Il nous a rassuré mais la situation ne s'arrange pas. Aujourd'hui, un changement institutionnel me semble indispensable et inévitable. Mais vers quel système ? Il y a au Burkina une accumulation de mécontentements qui étaient jusqu'à présent occultés, et qui éclatent les uns après les autres : les syndicats, les magistrats, les commerçants... J'ai été très surpris par la rébellion des militaires, car Compaoré est lui-même un militaire et je pensais qu'il avait dû s'occuper de l'armée. Moi par exemple, je ne suis pas militaire, mais je n'ai aucun problème avec mes soldats.
 
Craignez-vous un risque de contagion à d'autres pays de la région ?  
Les choses bougent en Afrique, mais les revendications ne sont pas les mêmes partout. Dans les pays arabes, il est clair que ce n'est pas encore terminé. Si la Tunisie, par exemple, réussit à dépasser la situation de crise et arrive à se muer en un système démocratique stable, il y aura forcément une nouvelle vague d'aspirations à la démocratie dans d'autres pays arabes. Pour les autres pays, chacun a ses propres bombes à retardement. Tous les présidents d'Afrique de l'Ouest me disent qu'ils ont des problèmes. Mon analyse est que si les peuples se sentent opprimés, ils risquent de se révolter s'il n'y a pas de changements.
 
Le 19 mars, le jour du onzième anniversaire de votre élection, des manifestations se sont déroulées à Dakar. Cela vous inquiète ? 
Pas le moins du monde. Il n'y aura ni coup d'Etat ni révolution au Sénégal. Il est vrai qu'il y a des manifestations, et tant mieux car je les souhaite ! Nous avons eu avec mon équipe une réunion vis-à-vis de ces manifestations et la question s'est posée de les interdire. J'étais le seul à vouloir les laisser se dérouler, le seul ! J'ai choisi de laisser faire. Ces manifestations ne sont pas représentatives de la majorité des Sénégalais. Ici, la démocratie est une réalité, et les gens me soutiennent massivement. Si un jour le peuple sort en masse pour me mettre à la porte, je ne ferais pas d'histoires. Je suis tout entier dévoué à mon pays.
 
Vous-même, à 84 ans, avez déjà annoncé que vous vous présenterez pour un troisième mandat en 2012... 
Il y a des chefs d'Etat qui ont fait beaucoup plus que trois mandats. L'âge est une obsession en Europe, mais pas en Afrique. Mon père a vécu 105 ans, ma grand-mère 120 ans, donc j'ai encore du temps devant moi ! On a l'âge de ses artères. Tant que je conserverai mes capacités physiques et intellectuelles, je n'envisagerai pas de partir.
 
Ne craignez-vous pas l'usure du pouvoir ? 
Je suis le seul président en état perpétuel de grâce. L'usure du pouvoir ne s'applique pas à moi. C'est un phénomène spécial lié à ma personnalité, à mon charisme, car je ne suis pas un baratineur mais un homme d'action. Je me compare à John Maynard Keynes, mon maître en économie, car son économie est fondée sur l'enrichissement pour redistribuer les richesses. Mais je pense déjà à ma succession. Je regarde autour de moi. Il est difficile de trouver chez quelqu'un les qualités d'un homme d'état. Mon successeur devra être intelligent, imaginatif, charismatique, mais surtout, populaire. On ne peut pas nier le rôle des personnalités dans l'histoire.
 

Un Marabout Détourne 4 Milliards Dans Son Compte Bancaire Et Conduit Une Bentley à Dakar

Lors de sa dernière émission sur seneweb radio, le journaliste sénégalais, Souleymane Jules Diop, avait révélé qu'un marabout, fils d'un khalife général des mourides, avait détourné 4 milliards dans son compte bancaire. "Cet argent  provient du compte spécial que Serigne Saliou avait ouvert au nom de la communauté mouride. Ce fils de khalife général détournera 4 milliards à son profit personnel. Depuis il fait la fête à Dakar et conduit une bentley", dit le journaliste. Une bentley peut coûter jusqu'à 300 millions de francs CFA et reste l'une des voitures les plus chères au monde.

VIOLENT RÉQUISITOIRE DU CHEF DE L'ÉTAT CONTRE SON EX-FILS PUTATIF AU PALAIS : Me Wade taxe Idrissa Seck de «satan» et d' «hypocrite»

Ceux qui espéraient assister à une normalisation des relations entre le président de la République et son ancien sherpa, Idrissa Seck, risquent de déchanter. Notamment, après le violent réquisitoire que Me Wade a prononcé, hier, contre l'édile de la cité du Rail, à la faveur de sa rencontre avec des responsables de l'ex-Rewmi à Thiès qui ont décidé de revenir à ses côtés, dans la perspective des prochaines joutes électorales.
Le dernier acte du feuilleton à rebondissements «Lui et moi» a-t-il été tourné, hier, au Palais, à l'occasion de la rencontre entre le président de la République et des responsables de l'ex-Rewmi à Thiès ? En tout cas, c'est une attaque en règle que Me Abdoulaye Wade a faite contre son ancien homme de confiance, Idrissa Seck, qu'il a accusé de tous les péchés d'Israël.
Revigoré par la forte mobilisation des désormais ex-partisans d'Idrissa Seck qui avaient sonné le rappel de leurs troupes dont des adjoints au maire de Thiès, à l'image de Dénéba Sall, Sidy Ndiéguène, Ameth Mbaye, qui ont décidé de revenir à la «maison du père», le Secrétaire général national du Parti démocratique sénégalais (Pds) n'y est pas allé du dos de la cuillère pour vilipender son ex-fils putatif.

«Nguur ku yakamti wala ku goreedi ak ku ragal du ko feke»
S'adressant à ses hôtes, Me Wade a d'emblée déclaré : «On a eu des divergences, mais j'ai toujours porté Thiès dans mon coeur. Boubacar Sall, premier militant, Alla Sèye, Thiané Lô, Anta Dièye, ont porté le parti à Thiès. Votre fils, mon fils (Idrissa Seck), j'ai participé dans son éducation. Après son Bac, je lui ai loué une chambre qu'il occupait avec Me Ousmane Ngom. Quand il est revenu des États-Unis, j'avais fondé beaucoup d'espoirs sur lui. Je pense avoir fait tout ce que je devais faire». Avant de descendre Idrissa Seck en flammes en usant d'une métaphore implacable : «Vous connaissez Iblis (ndlr : satan), tout ce que Dieu a créé, il est le plus intelligent. À un moment donné, il a cru qu'il était l'égal de Dieu et que Dieu ne pouvait rien contre lui. Ça peut arriver dans la vie. Je vais vous dire la vérité, mais pas ce qui va vous plaire. Des erreurs comme ça, il faut les éviter. «Yàllà da mëna ate» (Dieu Seul sait juger).

«Je ne le soutiens ni aujourd'hui ni demain»
Sur sa lancée, le chef de l'État, qui avait à ses côtés Serigne Mbacké Ndiaye, facilitateur de la rencontre, Karim Wade et le Pr Iba Der Thiam, d'enfoncer le clou : «J'avais dit à Thiès que 'nguur ku yakamti wala ku goreedi ak ku ragal du ko feke'. J'ai été le premier à être déçu par Idrissa Seck, parce que je l'avais mis devant tout le monde et lui avais confié des responsabilités. J'ai tout fait pour lui, mais à un certain moment, il a pensé pouvoir voler de ses propres ailes. Il est revenu, mais il dit qu'il veut être président. Il en a le droit. Mais, il n'a qu'à passer par le bon chemin».
Poursuivant son long réquisitoire contre Idrissa Seck, le chef de l'État a tenu à faire une précision de taille : «Il dit partout qu'il est candidat et qu'il bénéficie de mon soutien. Ça, c'est de l'hypocrisie. Je n'aime pas les hypocrites. Je ne peux pas cheminer avec un hypocrite, Tout ce qu'il dit c'est faux. Je ne le soutiens ni aujourd'hui ni demain».

«Je vais reprendre les chantiers de Thiès»
Très en verve, Me Wade de faire une révélation concernant la gestion de la mairie de Thiès : «Idrissa Seck n'a jamais voulu prendre ses responsabilités. Il disait toujours qu'il n'était mêlé ni à la vente de terrains ni aux détournements, parce que c'est Nguirane Ndiaye qui gérait la mairie. Et comme j'avais beaucoup de considération pour Nguirane Ndiaye, je n'ai jamais rien dit».
Toutes choses qui font que le président de la République a demandé aux ex-partisans de l'édile de Thiès de tirer les leçons de ce qui est arrivé. Avant d'accéder à la principale doléance posée par les différents orateurs, à savoir la reprise des chantiers de Thiès. «Je vais reprendre les chantiers de Thiès. Je vais même faire mieux en modernisant la ville», a-t-il souligné, non sans promettre une mutuelle aux femmes de Thiès. Pour les routes, il a pris à témoin Karim Wade qui a eu droit à un standing ovation.
Pour boucler la boucle, Me Wade a demandé à ses hôtes de lui donner la commune de Thiès où il compte venir prochainement pour communier avec ses militants.
Le Secrétariat national du Pds, prévu cet après-midi, à partir de 17 heures, au Palais, risque de se muer en une séance de liquidation d'Idrissa Seck, si l'on sait que la commission de discipline dudit parti a proposé à cette instance l'exclusion pure et simple du maire de Thiès. Une rencontre qui devrait se tenir sans l'ancien N°2 des libéraux qui, bien que convoqué, a décidé, selon nos sources, de ne pas y participer pour ne pas cautionner «une diversion».

Me Abdoulaye Wade : "si Les Sénégalais Sortent En Masse Pour Demander Mon Départ, Je Partirai"

Le président Abdoulaye Wade ne semble pas prêt à s’accrocher au pouvoir si la population sort en masse pour réclamer son départ. C’est du moins ce qu’il a fait savoir. «Si les sénégalais sortent en masse pour me demander de partir, je partirai. Il n’y aura ni révolution, ni coup d’Etat», a déclaré le chef de l’Etat dans une interview accordée au magazine «l’Expansion». Il a fait savoir : «je n’ai rien à protéger, ni fortune à l’étranger, ni maison… Je ne suis pas accumulateur».

 
Le président sénégalais a, ainsi, rappelé que le 19 mars 2011 des gens ont appelé à des rassemblements pour réclamer son départ. «Je constate juste que les personnes qui demandaient mon départ ont rassemblé à peine 3000 personnes alors que les manifestations de soutien organisée par mon parti a rassemblé plus de 100000 personnes. RFI a dit qu’ils étaient 20000. Soit. Mais même si on prend ce chiffre, le rapport de force est largement à mon avantage», a-t-il souligné. 
 
Abdoulaye Wade a tenu à faire comprendre que «la différence avec la Tunisie ou l’Egypte, c’est que moi, je veux bien qu’il y ait des manifestations. Ici la démocratie est une réalité que les gens vivent tous les jours». 
 
Le secrétaire général du parti au pouvoir a été interpellé sur l’usure du pouvoir. Il a automatiquement fait savoir qu’il ne croit pas à ça. «Je ne crois pas à l’usure du pouvoir ici. Je suis le seul président en perpétuel état de grâce. C’est un phénomène spécial lié à ma personnalité. C’est sans doute lié au fait que je ne suis pas un baratineur, je suis un homme d’action. Je me compare toujours à Keynes, mon maître en économie. On ne peut pas nier le rôle des personnalités dans l’histoire. Ce sont les hommes qui sont déterminants».

La seconde femme de Luc Nicolai a presque le même âge que sa fille qui vient se marier avec Zoss

Avec le mariage hier (sans son consentement) de Daniela Nicolai sa fille, le promoteur de lutte a du souci à se faire. Pour l'info, la seconde femme de Luc a presque le même âge que sa fille qui est tombé amoureuse de Zoss

Zoss et Daniéla Nicolaï : les secrets d’un amour « artificiel »

Luc Nicolaï n’a fait que constater les dégâts comme le ferait un agent en faction après un accident sur la voie publique. En effet, le promoteur qui ne cachait pas son désaccord sur le mariage entre sa fille Daniela et le lutteur Saliou Ngom plus connu sous le nom de Zoss, n’a pu empêcher les deux tourtereaux de sceller leur union. Ce jeudi 22 avril, les fidèles de la mosquée de Sacré Cœur 3 ont assisté au sermon de l’Iman qui unit désormais Zoss à la belle Daniéla sous l’œil vigilant de l’oncle maternel de la mariée, Papis Konaté. Un mariage certes béni par l’oncle de la mariée, mais qui s’est effectué sans le consentement de Luc Nicolaï et de sa femme. D’ailleurs, à en croire l’Observateur survolé par Leral.net, c’est quand Zoss commençait à fréquenter leur fille qu’ils ont émis des réserves. Mais c’était sans compter avec la détermination d’Arame Ganiada Nicolai qui, comme envoûtée par son lutteur d’amoureux, brave les interdits de Papa et maman pour se tailler de la maison familiale.

C’est à l’âge de 16 ans qu’elle s’était éprise de Zoss. A ses 20 hivernages, elle fait ses adieux à l'Institut de graphisme qu'elle fréquentait. Il se susurre que c’est le lutteur qui lui aurait ordonné de quitter l’école pour se consacrer scrupuleusement à son foyer. Mais aussi, parce que Zoss est terriblement jaloux. Des sources proches du couple murmurent qu’il n’a jamais voulu que sa Juliette ait un téléphone portable. Ce n’est que récemment qu’il s’est plié à la volonté de sa douce Daniela et lui a trouvé un portable digne de son rang.

D’aucuns ont pensé que la fille n’est pas le calibre de Zoss mais ce dernier s’est arrangé pour se la taper. Comment s’y est – il pris alors ? Les langues pendues glissent que le lutteur a recouru aux services de marabouts pour la « cadenasser ». Ce, pour expliquer l’amour fou que voue la fille au lutteur.

jeudi 21 avril 2011

KINE SOW ARTISTE COMEDIENNE « Je jure qu’il n’y a rien entre Balla Gaye II et moi »

Trouvée hier en plein tournage de la saison 3 de la série « Mayacine ak Dial » à Diamalaye, l’artiste comédienne Kiné Sow dément les rumeurs faisant état d’une grossesse qu’elle aurait contractée avec le Lion de Guédiéwaye Balla Gaye 2. Elle jure sur tous les saints qu’elle ne connaît ni ne fréquente Balla Gaye 2. Par conséquent elle n’a jamais été enceinte encore moins avortée. Elle dit être un cœur à prendre. Elle attend un bon mari. Même si elle confie qu’aucun homme ne peut lui tourner la tête.
 Qui est Kiné Sow ?
(Rires). Je suis artiste comédienne. Kiné Sow «moy lolou». J’ai commencé à faire le théâtre depuis le bas âge. Quand j’étais encore à l’école primaire. J’ai grandi à Pai. Je fréquentais l’école 26 à Fith Mith à Guédiawaye. Parfois les troupes de théâtre venaient se produire dans notre école, je les suivais. Et puis, je participais à des séances de théâtre avec l’Asc de mon quartier durant les navétanes. C’est comme ça que j’ai aimé le théâtre. Jusqu’à ce que j’aie fait la rencontre avec Sanex qui m’a donné un rôle dans Pa Allemand. Qui m’a révélée au grand public. Je le remercie au passage.
 Comment avez-vous fait la connaissance de Sanex ?
Je l’ai connu à travers un ami qui me l’a présenté pour la première fois. Je lui ai dit que je faisais du théâtre depuis des années. Il m’a dit qu’il fera appel à moi pour qu’on travaille ensemble. C’est ce qu’il a fait en m’invitant à « Pa Allemand » à Thiès.

Après « Pa Allemand », vous êtes l’une des actrices principales de la série Mayacine ak Dial qui connaît un succès. Comment vous vivez ce succès ?
Je le vis sereinement. Sans faire la grosse tête. Et les Sénégalais me le rendent bien. Je remercie le bon Dieu. Je pense que c’est parce que nous avons su jouer pleinement nos rôles que cette série a connu un franc succès. Nous allons faire tout pour continuer sur cette lancée.

Comment vivez-vous ce succès auprès des hommes. Il paraît que votre plastique fait courir plus d’un homme ?
 Je rends grâce à Dieu. Je dis à tous ces gens qui m’aiment que je ne connais pas que je les aime aussi. Quand on a la chance d’être aimée par les gens pour ce qu’on fait, on ne peut qu’en être fière.

Etes-vous mariée ?
Non, je ne suis pas mariée. (Rires). Doma dougal. Je suis célibataire.

Vous n’allez pas nous dire que ce sont les candidats qui manquent. Parce que rien qu’à vous voir…
Non, je n’ai pas de mari. J’attends que Dieu me donne quelqu’un de bien. Un bon mari. Quelqu’un qui me comprend. Qui peut soutenir dans ce que je fais.

Il y a des rumeurs qui circulent faisant état de relations entre le Lion de Guédiéwaye et vous. Qu’en est-il exactement ?
(Eclats de rire). Qui est le Lion de Guédiéwaye ?

Balla Gaye 2 bien sûr. Il paraît que vous sortez ensemble ?
Chacun a sa vie privée.

Vous sortez ensemble ou pas ?
Non on ne sort pas ensemble.

Mais vous vous voyez quand même de temps à temps ?
Non. On ne se voit pas.

Vous vous parlez parfois au téléphone ?
(Elle éclate de rire à nouveau) Ay !!! Je vais crier au secours. Laisse-moi tranquille, je le ne vois pas, je ne l’entends pas.

Il y a certains même qui disent qu’on a arrêté le tournage de « Mayacine ak Dial » parce que vous êtes enceinte. Et que c’est Balla Gaye 2 qui en serait l’auteur ?
(Ey maan). Regarde ( Elle soulève son boubou pour montrer son ventre). Je n’ai rien. Je ne suis pas enceinte. Et je n’ai pas avorté non plus. J’ai appris cette rumeur hier soir. J’avoue que quand on me l’a dit je n’ai pas dormi durant toute la nuit. Les gens racontent des ragots sur moi. Je suis là en plein tournage. Quand on est une célébrité, on supporte tout. Je n’ai rien aucun contact avec Balla Gaye 2. J’ai opté pour le métier d’artiste. Donc il faut que j’accepte les critiques et les quelques méchancetés. Cela fait partie des risques du métier. On gère tout cela.

Quel est votre homme préféré. Vous préférez les gros calibres comme les lutteurs ou les hommes minces ?
Hééé. Je n’ai pas de préférence. « Man ken douma danal » ( Je ne tombe sous le charme de personne).

Vous avez quand même un petit copain ?
Oui, j’en ai.

Il est dans le milieu de la lutte, du théâtre ?
Il n’est pas dans ces milieux. On s’est connu bien avant que je sois célèbre à travers les téléfilms. C’est quelqu’un de sérieux que j’aime avec qui je suis.

Est-ce que vous vous en sortez avec ce métier ?
Dieu merci. On s’en sort bien. On gagne bien notre pain avec ce métier. Sinon nous ne serons pas là du matin au soir pour jouer des pièces de théâtre.

Souvent vous jouez des rôles un peu négatifs dans les pièces, du genre collectionneuse, est-ce que cela ne peut pas influencer les jeunes filles qui vous suivent ?
C’est vrai que les enfants copient beaucoup sur nous. Mais ce n’est pas cela qu’on veut véhiculer en jouant certains rôles. Dans la plupart des cas, quand je joue ces rôles, à la fin, je suis toujours la perdante. La moralité que peut tirer c’est qu’en faisant certaines choses, on n’y gagne absolument rien. C’est une manière de décourager les gens à faire certaines choses. C’est ainsi que les gens doivent comprendre certains rôles qu’on joue dans les téléfilms. Je suis quelqu’un de naturel. Ma personnalité n’a rien à voir avec les personnages que j’incarne dans les téléfims.

Comment vous vivez la concurrence dans votre milieu. Avec les histoires de jalousie ?
Je le gère naturellement. Comme dans tous les milieux. Mais Dieu merci, moi je n’ai de problèmes avec personne. Je ne veux du mal à personne.

Votre dernier mot.
Je dis et je répète qu’il n’y a rien entre Balla Gaye 2. Je le jure sur le saint Coran, on ne se voit même pas

Tyson- Balla Gaye 2 : Gaston Mbengue pense aux 24 ou 31 juillet

Dakar, 21 avr (APS) - Gaston Mbengue, le promoteur du combat de lutte Tyson-Balla Gaye 2, a émis le souhait de voir cette affiche prévue pour le 3 avril et qui avait été repoussée au 5 juin prochain, se tenir le 24 ou le 31 juillet prochain.
Le promoteur de lutte réagissait jeudi sur la radio privée RFM à la suite d’une nouvelle blessure de Tyson et qui aura pour conséquence de rendre inopérante la date du 5 juin annoncée après l’annulation de celle du 3 avril.
Gaston Mbengue dit en avoir informé le camp de Balla Gaye 2 qui avait peu apprécié le forfait de Tyson à quelques jours du combat du 3 avril dernier.
Le leader de la Génération Boul Fallé, blessé cette fois-ci au coude, aura le feu vert des médecins sur la durée de son indisponibilité et la date de son retour, le 10 mai prochain.
Sortant de défaite contre Yekini, Tyson aura en face de lui l’un des plus grands espoirs de la lutte avec frappe qui veut utiliser cette confrontation pour avoir la possibilité de pouvoir lutter contre le Roi des arènes, Yakhya Diop Yekini.
Ce dernier, invité mardi du Forum de la chaîne française Infosports, a confirmé sa volonté de quitter la lutte avec frappe très prochainement.
Yekini, qui est resté 14 ans dans l’arène sans connaître la défaite, a laissé entendre que son départ pour la retraite pourrait sonner en décembre prochain après un à deux combats contre les espoirs.

Côte d'Ivoire : Laurent Gbagbo gardé à Korhogo (et mécontent)

L’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo est détenu à Korhogo, dans le nord de la Côte d’Ivoire. Une localité qu’il n’a pas choisie et où il est gardé par l’un de ses opposants les plus radicaux...Laurent Gbagbo est bien retenu dans la ville de Korhogo dans le nord de la Côte d’Ivoire, en attendant un éventuel procès national ou international.L’ex-président ivoirien aurait préféré rester dans le sud du pays, à Bassam ou San Pedro, mais on ne lui a pas laissé le choix.
C’est en revanche lui qui a insisté pour partir seul : la déchéance de son épouse, Simone - qui depuis son arrestation se réfugie dans la prière - lui est trop pénible.Pas d’autorisation pour la Croix-RougeLa Croix-Rouge a demandé à le voir (comme l’exigent ses proches) mais elle n’a pour l’instant pas reçu l’autorisation.
D’après son entourage, l’ancien président ivoirien est gardé par des forces onusiennes ainsi que par les hommes du commandant Martin Kouakou Fofié, un des chefs de l’ancienne rébellion des Forces nouvelles.Laurent Gbagbo, qui est devenu un paria de la communauté internationale après sa tentative de coup d’État institutionnel de décembre dernier, a donc pour gardien un homme qui avait lui-même fait l’objet de sanctions du Conseil de sécurité de l’ONU depuis 2006...

El Hadji Diouf raconte : "Mon père m'a abandonné, il n'avait pas le choix, le pauvre !"

On est tenté de vous renvoyer un peu à votre enfance et vous demander de nous raconter comment vous l’aviez passée à Balacoss… 
C’était vraiment dur pour moi, comme pour tous les enfants de Balacoss. Je suis né à Dakar, mais j’ai grandi, en effet, à Balacoss, à Saint Louis. On peut dire que c’est la plus grande ville du Sénégal. C’était dur surtout pour mes grands-parents de nous faire vivre et subvenir à nos besoins. 
Vous étiez combien d’enfants ?
 
Ma mère n’en a eu que deux là-bas. Mais nous vivions avec tous les cousins dans une même maison. Il y avait les enfants de mes oncles, de mes tantes et ceux de mes cousins. On était environ une douzaine ou plus dans la maison. C’était vraiment dur à gérer. Mais moi, je n’avais qu’une idée en tête : réussir dans le football. Comme je savais un peu taper dans un ballon, j’avais décidé de me concentrer sur le football pour aller le plus loin possible. Je voulais me faire plaisir, mais aussi à mes grands-parents qui faisaient tout pour nous voir réussir. C’était dur, vraiment dur. Vous savez, en Afrique, les riches resteront riches et les pauvres toujours pauvres. Mes grands-parents avaient tout fait pour nous rendre heureux et comme j’étais leur préféré, ils m’ont beaucoup aidé à réussir dans le football. J’ai donc tout tenté pour les rendre heureux à leur tour. 
Votre père aussi était footballeur, non ? 
Oui, il était footballeur en effet. Mon père est quelqu’un que j’aime beaucoup, même si je n’ai pas grandi à ses côtés. En fait, il est parti très tôt pour faire aussi sa carrière… 
Il est parti en vous laissant à vos grands-parents ? 
Oui, il m’a laissé, mais parce qu’il n’avait pas le choix, le pauvre ! 
Vous ne lui en voulez donc pas, c’est ça ? 
Non, je ne lui en veux vraiment pas. Je prends même ça comme une bonne chose, car je pense que le fait qu’il m’ait laissé a fait que je sois devenu plus fort mentalement. C’est cela qui m’a donné cette force mentale qui m’aide à vivre partout sans problème. 
Avez-vous repris contact avec lui ? 
Oui, je l’ai vu il n’y a pas longtemps, quand on a rencontré le Sporting de Lisbonne. Il est toujours au Portugal et s’occupe de sa petite famille à Lisbonne… 
Donc vous avez des demi-frères et des demi-sœurs… 
Oui, j’ai deux sœurs portugaises et il a sa femme et ses amis là-bas. 
Comment ont-elles vécu votre première rencontre ? 
Elles étaient contentes tout comme moi. En fait, je voulais emmener ma fille pour que mon père fasse sa connaissance. Il a vu ma fille aînée qui lui ressemble tellement et aujourd’hui je crois que c’est mon devoir de la lui emmener, parce qu’on ne sait jamais ce que la vie nous réserve tellement elle est courte. Je tenais tellement à lui présenter sa petite-fille. 
Vous ne vous êtes pas revus depuis combien d’années 
On va dire quelque chose comme 22 ans. Mais on s’appelle, depuis, tous les jours pratiquement. 
Ça devait vous peser, toutes ces années d’absence, non ? 
Oui, bien sûr, mais vous savez, nous les Africains, on est très forts mentalement. On sait encaisser les coups de la vie. On sait prendre les choses du bon côté malgré la dureté de la vie. Le fait que je ne l’ai pas vu, c’est vrai qu’au début, je me posais beaucoup de questions. Et je me disais même qu’un jour, je lui ferai regretter cela. Mais en grandissant, j’ai changé et mes pensées avec moi. On ne réfléchit pas comme lorsqu’on est gamin. 
C’est votre côté altruiste et généreux qui prend le dessus à chaque fois… 
Je dois remercier mes grands-parents pour m’avoir inculqué la notion du pardon. C’est quelque chose de très important dans la vie. Vous savez, si j’ai réussi, c’est parce que beaucoup de gens m’ont aidé. Pourquoi ne pas aider les autres à mon tour aujourd’hui?? 
En lisant cela, beaucoup de jeunes dans le même cas vont peut-être revoir leur copie en se disant qu’il vaut mieux pardonner au final. C’est magnifique ce que vous dites là… 
Bien sûr qu’il vaut mieux pardonner, car après tout le problème s’est posé entre lui et ma mère. Ce n’était pas le mien. Il n’y a qu’eux qui connaissent le pourquoi et le comment des choses. Moi, tout ce que je sais aujourd’hui, c’est que j’ai un père et une mère qui m’ont mis au monde et je me dois de les respecter toute ma vie et leur obéir.

Le lutteur Zoss épouse la fille de Luc Nicolaï

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Le leader de l’écurie « Door Doorat », Saliou Dione alias Zoss, se marie aujourd’hui, dans l’après-midi. Le lutteur va épouser la fille de Luc Nicolaï, affublé par ses thuriféraires du titre pompeux de « promoteur du continent ». Selon le journal L’As, le mariage sera scellé à la Sicap Liberté III.

mercredi 20 avril 2011

Le Real Madrid remporte la Coupe du Roi

VALENCE - Quelle finale! Le Real Madrid est venu à bout du FC Barcelone en prolongation, mercredi à Valence (1-0), et a remporté sa 18e Coupe du Roi au terme d'un duel d'une incroyable intensité et d'une opposition de style magnifique.

Le Real, largement distancé en Liga par le Barça, a freiné l'hégémonie de la formation catalane en Espagne et remporte au passage son premier trophée depuis 2008, année de l'arrivée de l'entraîneur Josep Guardiola au Barça.

José Mourinho, arrivé l'été dernier au Real, remporte déjà un titre avec le club madrilène, qui n'avait plus gagné la Coupe du Roi depuis 1993. Et il bat le Barça pour la première fois avec le Real, humilié (5-0) puis tenu en échec à domicile en Liga (1-1).

Avec un Real de nouveau d'aplomb, la demi-finale de la Ligue des champions entre les deux équipes s'annonce exceptionnelle.

Cristiano Ronaldo, sur un centre magnifique de Di Maria, a offert la victoire au Real d'une tête magistrale (103e).

Chaque équipe a eu sa période, la première pour le Real, la seconde pour le Barça. Le jeu s'est équilibré en prolongation mais le Real a été plus tranchant.



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Comme samedi en Liga, le Real se présentait pourtant dans un schéma ultra défensif, sans avant-centre (Benzema, Adebayor et Higuain sur le banc) et avec le défenseur Pepe au milieu. L'international portugais jouait cette fois beaucoup plus haut, courant partout pour couper la liaison Xavi-Messi.

Et il a été magistral dans ce rôle. Il s'est souvent retrouvé en position d'attaquant et s'est créé la meilleure occasion du match à la 44e minute, expédiant sur le poteau une reprise de la tête.

Le Barça a été coupé en deux par le travail incessant et très physique des milieux madrilènes. Xavi n'avait que peu d'espaces et Iniesta était étouffé par Khedira.

Résultat, le Barça a bafouillé son football et ne s'est créé aucune occasion nette en première période.

À l'inverse, le Real s'est alors montré très dangereux, avec des contre-attaques explosives : Mascherano a dû dégager devant sa ligne une frappe de Ronaldo (12e) et Pinto a dû repousser du bras un tir croisé de la star portugaise (36e).

L'enjeu était beaucoup plus important que samedi et la rencontre était beaucoup plus tendue.

L'arbitre, Alberto Undiano, ne souhaitant pas voir le match lui échapper, a souvent eu recours au sifflet. Il a été mis sous pression par les deux camps. Par les joueurs, qui se rassemblaient comme un seul homme autour de lui, et par le public, avec 20 000 spectateurs de chaque côté, séparés par 10 000 "aficionados" neutres.

Le changement a été radical en seconde période. Pepe, sans doute fatigué après sa débauche d'énergie, harcelait moins les milieux du Barça. La formation catalane, probablement recadrée par Guardiola, jouait plus haut et retrouvait son jeu, fait de passes courtes et rapides.

Cela se traduisait automatiquement en occasions: une frappe puissante de Pedro hors cadre (51e), un tir de Villa dans le petit filet (57e) et une frappe de Messi au-dessus (69e). Après un beau décalage, Pedro pensait avoir marqué mais le but était justement refusé pour hors jeu (69e).

Le Barça prenait définitivement l'ascendant. Casillas devait sortir le grand jeu, sur une reprise de Messi et dans la foulée sur une frappe de Pedro (75e). Puis sur une tentative d'Iniesta, détournée en corner (81e).

Mais le dernier mot dans le temps réglementaire était pour le Real : Di Maria obligeait Pinto à se détendre (90e).

Le Barça avait toujours la mainmise sur le jeu en prolongation mais le Real restait très dangereux. Ronaldo manquait le cadre d'un rien à la 98e. Puis finissait par le trouver à la 103e minute.

[ Entretien] Modou Lo « Mon combat avec Eumeu Sene... je ne fais que le lire dans les colonnes de vos journaux»

Quinze jours après avoir fait un match nul face à Lac de Guiers Modou Lô qui a repris ses entrainements depuis une semaine, s'est prêté à quelques questions de Sunu Lamb. Trouvé hier dans l’après midi à l'Olympic Club où il effectuait sa séance de musculation, c'est un Modou Lô décontracté et relaxe que nous avons découvert. Kharagne Lô s'entraine comme s'il préparait un combat ...contre Emeu Sène ? Qui sait même s'il se dit à l'écoute de son staff ? Entretien
C'est un Modou Lô décontracté et vraiment relaxe que nous découvrons cette fois. Qu'est ce qui explique cela ? 
Je commence d’abord par saluer tout le monde de la lutte et tous les lecteurs de Sunu Lamb: C’est que préparer un combat cela pèse trop pour un lutteur. Mais j'ai lutté le lundi 4 avril, le jeudi je me suis échauffé et j'ai repris mes entrainements aussitôt. C'est vrai qu'après un combat, c'est toujours comme si l’on vous ôtez un trop lourd poids de la tête. Car la préparation d'un combat, c'est vraiment autre chose. Mais je rends grâce à Dieu.
Vous vous entrainez cependant comme si vous prépariez un autre combat ? 
Si jamais un combat se présentait ma ték ko si. Instants yi moye lolou (j’allais m’y mettre)!Je viens d'une préparation et depuis lors (ndlr le combat du 4 avril) nous avons repris nos habitudes, c'est-à-dire les entrainements. La lutte c'est notre métier. Je m'entraine chaque jour. Une proposition de combat ne me surprend jamais. A chaque fois qu'un combat se présente, nous ne continuons alors que ce que nous faisions.
Modou Lô continue ses entrainements sereinement au moment où l'on plébiscite votre combat contre Eumeu Sène. Que répondez-vous à cette remarque ? 
Ce combat c'est dans les journaux que l'on en parle pour le moment. Mais pas un seul promoteur ne m'a encore contacté pour en parler. Pour le moment je ne fais que le lire dans les colonnes de vos journaux.
Mais, qu'est ce que Modou Lô en pense si un promoteur vous démarche?
(Rire). Comme je vous le répète chaque jour, je ne décide de rien. Sikim la rek guestu moma yobalé! Je me contente juste d'exécuter des directives. J'ai un staff et un entraineur. Ils me demandent de faire telle chose et je le fais. C'est tout. Je ne décide rien.
Comment se passe les entrainements ? 
Du lundi au vendredi sans relâche, Je fais de la musculation comme vous voyez et je reste à la disposition de mes entraineurs en faisant ce qu'ils me demandent de faire.
Avec du recul comment analysez-vous votre prestation face à Lac 2 ?
Bon, c'est vrai que je voulais, tout comme mon adversaire, la victoire pour mes fans et supporters. Mais Dieu en a décidé autrement. Car, il ya aussi le fait que, pour un combat que l'on a préparé des mois durant, des conseils, il faut forcément prendre en compte. J'en étais pas à mon premier grand combat j'ai l’habitude donc je me suis comporté naturellement comme aux entrainements, sans pression.
Quand on sait que Lac 2 est ami à Balla Gaye 2 qui vous a battu, est ce que psychologiquement cela ne vous a pas quelque peu dérangé durant le combat ?
Non, c’est comme je l’ai déjà dit. Je me suis forgé dans les mbapatt. Donc le public ou ces genres de considérations ne peuvent pas me déstabiliser. C’est comme si j’étais vraiment aux entraînements.

SOURCE : Sunu Lamb Par Rokhaya THIAM

Pour contrer le Mouvement Y en a marre : le rappeur Fata au service du Pds ?

Le rappeur Moustapha Gningue plus connu sous le nom de «Fata» est dans le viseur de ses collègues. Il est accusé d’avoir été enrôlé par le pouvoir pour contrer le mouvement «Y en a marre».
 
 Selon «L’As», l’animateur de «Hip hop feeling» (une émission de la 2stv), a commencé à contacter des rappeurs pour mettre en place un mouvement de «paix et d’équilibre» qui rame à contre-courant des idées développées par le mouvement «Y en a marre». L’animateur a contacté des rappeurs comme Carlou D, Xumam et Simon de Bis bi qui l’ont adressé une fin de non recevoir. 
 
Fata a aussi contacté un des acteurs les plus en vue du mouvement «Y en a marre», Malal Talla alias «Fou malade» en l’occurrence. Tous ces rappeurs cités ont confirmé dans «L’As» qu’ils ont été approchés par Fata. 
 
Fou malade d’expliquer que « Fata n’est pas crédible ». Selon lui, dès qu’il lui a fait part de son projet, il a fait le rapprochement avec «une autorité du Parti démocratique sénégalais (Pds) qui cherchait des rappeurs pour contrer le mouvement Y en a marre». Interpellé, Fata a refusé de répondre aux accusations formulées à son encontre.Le rappeur Moustapha Gningue plus connu sous le nom de «Fata» est dans le viseur de ses collègues. Il est accusé d’avoir été enrôlé par le pouvoir pour contrer le mouvement «Y en a marre».
 
 Selon «L’As», l’animateur de «Hip hop feeling» (une émission de la 2stv), a commencé à contacter des rappeurs pour mettre en place un mouvement de «paix et d’équilibre» qui rame à contre-courant des idées développées par le mouvement «Y en a marre». L’animateur a contacté des rappeurs comme Carlou D, Xumam et Simon de Bis bi qui l’ont adressé une fin de non recevoir. 
 
Fata a aussi contacté un des acteurs les plus en vue du mouvement «Y en a marre», Malal Talla alias «Fou malade» en l’occurrence. Tous ces rappeurs cités ont confirmé dans «L’As» qu’ils ont été approchés par Fata. 
 
Fou malade d’expliquer que « Fata n’est pas crédible ». Selon lui, dès qu’il lui a fait part de son projet, il a fait le rapprochement avec «une autorité du Parti démocratique sénégalais (Pds) qui cherchait des rappeurs pour contrer le mouvement Y en a marre». Interpellé, Fata a refusé de répondre aux accusations formulées à son encontre.

Lac de Guiers 2 cherche femme : "Mais je n'aime pas les filles capricieuses"


Avis aux filles : Pape Ansou Cissé plus connu sous son nom de lutteur Lac de guiers 2 est un cœur à prendre. Mais attention ! Pas par n’importe qui. En effet, le lutteur a livré ses critères de sélection. Aux filles qui rêvent de devenir Mme Cissé, tachez d’être pieuse. Ce n’est pas tout.
 
 Vous devez aussi être indulgente sur beaucoup de choses non sans détenir un cœur pur. Selon le lutteur de l’écurie Walo, sa future épouse doit avoir de bons rapports avec ses parents. Quid des filles capricieuses ? Le lutteur n’en veut pas. « Je n’aime pas les filles capricieuses », a-t-il glissé dans les colonnes de Walf Grand’Place. Après avoir décliné les traits qui doivent caractériser la femme de ses rêves, Lac de guiers 2 espère se faire envoyer chez Ardo avant la retraite.
 

Guédiawaye : Une Fille De 20 Ans Raconte Son Enlèvement

La jeune Y. G., 20 ans, enlevée la semaine dernière, est rentrée chez elle à Guédiawaye le week-end dernier. Elle nous a raconté les circonstances de son enlèvement ainsi que le calvaire vécu durant les 48 h partagées avec son ravisseur dans une chambre d'une maison à Keur Massar.
Nous avons trouvé Y. G., 20 ans, dans un quartier de Guédiawaye. Elle est assise à même le sol dans la chambre de sa mère, le téléphone collé à l'oreille, faisant face à ses sœurs. Sur son visage se lisent les effets d'un choc psychologique. Sa mère, Sokhna Ndiaye, nous parle de l'ambiance qui a prévalu après le retour de sa fille aînée. «Elle est revenue, samedi dernier, vers 14 h et tout le monde s'est mis à crier», nous apprend-elle. Son père, Balla, poursuit :  «Elle était dans un piteux état.
Le chauffeur de taxi clando qui l'a ramenée nous a confié que son état s'est considérablement amélioré par rapport à celui dans lequel il l'avait trouvée, entourée de curieux devant Poste Thiaroye. Elle pleurait et cherchait un moyen de rentrer». La fille avait les cheveux ébouriffés et les vêtements froissés.
Sur un ton empreint de tristesse, Y. G., connue pour être une fille sans histoires et très correcte dans son quartier, raconte le récit de sa mésaventure. «Vers 17 h, alors que je venais de terminer mon travail, j'étais à l'arrière d'un clando aux côtés d'un homme dont la physionomie fait penser à un étranger», nous confie-t-elle. «Arrivée à destination, j'ai demandé au chauffeur de s'arrêter et c'est en ce moment que mon ravisseur a aspergé mon visage d'un gaz asphyxiant et je me suis évanouie», poursuit-elle. Elle confie que le chauffeur serait de mèche avec son ravisseur.
Vers minuit, elle s'est réveillée dans une chambre où il n'y avait qu'un matelas posé à même le sol, un poste radio, dans un  endroit qu'elle ne parvient pas à situer. «Il m'a attaché les deux bras et m'a ensuite dit que ma tête sera coupée et vendue à quelqu'un, tout en précisant qu'il n'attend que ce monsieur pour m'égorger», explique Y. G. Selon elle, durant les 48 h passées avec son ravisseur, elle n'a ni mangé, ni pris une douche. «J'ai refusé de toucher aux aliments qu'il m'a proposés», poursuit-elle. Toujours selon la jeune fille, le ravisseur l'enfermait à chaque fois qu'il devait sortir.
L'erreur commis par le délinquant est d'avoir oublié de fermer la porte à clé, le samedi matin, lorsqu'il devait prendre sa douche. «J'en ai profité pour ouvrir la porte et sortir en catastrophe», déclare Y. G.
Elle a ensuite rejoint une route et a rencontré un jeune homme à qui elle a raconté sa mésaventure. Ce dernier lui a fait offert une pièce de 100 FCfa et lui a conseillé de prendre un car pour se rendre à  Poste Thiaroye. Là-bas, un autre homme lui a offert les 1000 FCfa qui lui ont permis de payer un taxi clando pour rentrer chez elle.
Un membre de sa famille a tenté d'appeler sur son téléphone portable abandonné sur les lieux du rapt, mais une voix masculine avec un accent étranger lui aurait répondu en l'injuriant. D'abord interrogée par la police, Y. G. a été ensuite acheminée chez la gynécologue de l'hôpital Roi Baudouin qui, après examen médical, a conclu qu'elle n'a fait l'objet d'aucune agression sexuelle. Selon sa mère, depuis samedi, sa fille est souvent l'objet de cauchemars et ne cesse de crier: «Le voilà, je l'ai vu...». Elle a d'ailleurs été confiée à un psychologue.

mardi 19 avril 2011

Séisme à Fukushima : le Sénégal offre 100 millions de francs au Japon

Le gouvernement du Sénégal a offert au Japon une enveloppe de 100 millions de francs, en guise d’aide suite au séisme de Fukushima survenu en mars dernier. Le chèque a été remis ce lundi à l’ambassadeur du Japon au Sénégal, Hiroshi Fukuda, par le ministre des Affaires étrangères du Sénégal.
Lors de cette cérémonie de remise, le ministre des Affaires étrangères a soutenu que c’est un geste symbolique. «Nous sommes conscients que c’est une goutte d’eau dans l’océan », a déclaré le chef de la diplomatie sénégalaise. Il ajoute que « si le Sénégal avait les moyens, nous serions les premiers à nous manifester ». La raison, selon Me Madické Niang, est que «le Japon a financé plusieurs programmes au Sénégal. C’est un partenaire financier et technique important pour le Sénégal qui est dans le cœur des Sénégalais ».

El Hadji Diouf Et Son Ami Kadhafi

L’attaquant sénégalais des Glasgow Rangers, plus célèbre pour ses frasques extra-sportives que pour ses prestations sur les terrains de football a récidivé récemment. Ainsi, dans les colonnes d’un magazine africain, il a déclaré que le colonel Kadhafi ainsi que son fils Saif était des proches personnels : « Le colonel Khadafi est un homme que j’ai toujours admiré. Je dis la vérité. Je le connais et je connais bien aussi son fils Saif. Ce sont mes amis ». Des déclarations surprenantes de la part d’El Hadji Diouf que l’on n’avait jamais entendu s’étendre sur le plan politique.
Celui qui a brillé sous les couleurs lensoises a ensuite ajouté qu’il n’était pas profondément au courant des évènements qui se passent actuellement en Libye : « Honnêtement, je ne sais pas ce qu’il se passe vraiment en Libye en ce moment mais cela doit être vraiment dur pour Khadafi et sa famille ». Pour finir, le natif de Dakar a tout de même pris la peine d’ajouter que c’était « une honte de voir tant de victimes ». On attend désormais la surenchère de Mario Balotelli à ce sujet !

Immolations et accidents : l’imam accuse le Monument de la renaissance

Le Monument de la renaissance serait responsable des séries d’immolations et d’accidents au Sénégal, selon l’imam Ousmane Sow de la mosquée Mbarobé du quartier Montagne de Louga. L’imam Sow a profité de la prière du vendredi pour dénoncer la construction de cette statue : «Le monument  est une œuvre de la franc-maçonnerie, on ne devait jamais le construire dans notre pays. Devant la volonté du pouvoir, nous voilà  voisins de cette création maçonnique. » Le religieux se déclare convaincu que « tous ces faits insolites comme les immolations que l’on voit sous nos cieux viennent de ce  monument parce qu’il nous porte  malheur… Les nombreux accidents notés dans le pays ont la même cause, c’est-à-dire l’implantation de ce monument. L’islam n’a jamais accepté la présence de statues et il ne l’ordonnera jamais ».

lundi 18 avril 2011

Championnats EuropÉens: Le Show Des Buteurs Africains

Une nouvelle journée de championnat et des buts pour les joueurs africains. Dans les lignes qui viennent découvrons certains de ces buts.
Ligue 1 de France / 31e journée
- En tout cas, personne ne saurait contester au match Sochaux – Caen, son caractère africain. Surtout quand on se penche un peu sur les auteurs des cinq buts de cette rencontre. C’est d’abord l’attaquant marocain, Youssef El-Arabi qui ouvrira le score pour les visiteurs dès la 9ème minute. Réponse du berger à la bergère, c’est le défenseur sénégalais Boukary Dramé qui égalisera à la 13ème minute. Il aura fallu aborder les dix dernières minutes de jeu pour revoir le festival. Par deux fois, l’attaquant malien de Sochaux, Modibo Maïga (81ème et 86ème minutes) frappera en attendant une réduction de score du milieu de terrain algérien Romain Hamouma à la 89ème minute de jeu pour Caen. Trop court pour refuser à Sochaux de l’emporter par 3 buts à 2.
- Perdu de vue depuis son doublé à la 24ème journée et ayant perdu son statut de titulaire, l’attaquant togolais de Brest a permis à son équipe de rentrer de Lens avec un point dans le sac. Alors que son équipe était menée depuis la 20ème minute de jeu, Jonathan entré en jeu cinq minutes plus tôt, en lieu et place de Ngoyi, rétablira la parité en scorant à la 60ème minute de jeu. Ceci au terme d’une action splendide qui permettra à Ayité de conclure du droit un centre de Poyet.
- Ce but d’Eric Mouloungui vaudra tout son pesant d’or pour avoir permis à l’OGC Nice de l’emporter finalement sur l’AS Monaco sur un score de 3 buts à 2.
- Pour reprendre la tête du classement des buteurs africains, l’attaquant sénégalais de Lille, Moussa Sow a inscrit son 21ème but de la saison à la 58ème minute de jeu. Ce fut face à Bordeaux qui en tout trouvera finalement les recettes indispensables pour revenir au score et rentrer chez lui avec un petit point.
- Rarement buteur cette saison, le défenseur latéral nigérian de l’Olympique de Marseille, Taiwo Taye a offert une victoire en déplacement à son équipe en marquant un second but sur penalty à la 82ème minute sur le terrain de Montpellier. Une victoire de 2 buts à 1 qui permet de conserver l’écart d’un point qui les sépare du leader Lille. C’est en tout cas le quatrième but de la saison pour Taiwo.
- Pour permettre au PSG de passer devant Rennes, le défenseur Franco-malien Zoumana Camara a marqué le seul but du match contre Lyon ce dimanche. Un but qui vaut de l’or vu qu’il envoie les Parisiens au pied du podium et ouvre le compteur but de ce joueur qui a encore sept journées pour en marquer d’autres.
Championnat d’Espagne - 32e journée
- Le Deportivo La Corogne peut remercier en premier lieu son joueur Franco-tunisien, Lassad Hassen Nouioui qui a ouvert le score face au Racing Santander dès les arrêts de jeu de la première mi-temps et indiqué la voie du succès à ses coéquipiers. Ces derniers suivront d’ailleurs bien cette voie en inscrivant un autre but quatre minutes après la reprise. C’est le 5ème but de la saison pour Lassad.
Championnat d’Angleterre / 33e journée
- West Bromwich Albion a eu toutes les peines du monde à contenir la colère des Ivoiriens de Chelsea. Les joueurs de WBA ouvriront d’abord le score à la à la 17ème minute de jeu grâce au Nigérian Peter Odemwingie. Mais Clesea s’en remettra à Didier DRogba (22ème) et Salomon Kalou pour reprendre l’avance. Une avance d’ailleurs consolidée peut avant la pause par Lampard. 3-1 ce fut le score final en faveur de Chelsea qui évoluait hors de sa base.
- A Blackpool, le Franco-congolais, Charles N’Zogbia a permis à Wigna Athlectic de mener d’abord par deux buts à zéro en marquant dans les arrêts de jeu de la première mi-temps. Score à la fin des 90 minutes, 3-1 pour Wigan.
Championnat d’Italie - 33e journée
- En égalisant à la 49ème minute de jeu le premier but encaissé par Lecce face Cagliari, le joueur algérien, Djamel Mesbah croyait avoir fait l’essentiel et ne savait pas que le plus difficile reste à venir. C’est le 2ème but de la sison pour Mesbah. Son équipe devra courir par après derrière deux autres buts qu’elle finira par réduire puis égaliser (88ème et 90ème +4). Score final 3-3.
Championnat du Portugal - 27e journée
- Le jeune international ghanéen Ishmael Yartey de Beira Mar a été très malheureux ce dimanche au terme du match qui opposait son équipe à celle de Benfica. Son but à la 90ème minute de jeu a été trop insuffisant pour établir la parité au score avec le Benfica qui s’est mis à l’abri en inscrivant deux buts au terme de 70 minutes de jeu.
Championnat de Belgique - 3e journée
- Pour marquer la présence de l’Afrique ce samedi en championnat, Victor Wanyama, le milieu de terrain kényan de Germinal B. Anvers a inscrit le 3ème but de son équipe face au Westerlo. Ce fut un match consacré par le nul 3-3.
- A la suite de de Wanyama, l’attaquant égyptien, Mohammed El-Gabbas a montré la voie de la victoire au FC Lierse en ouvrant le score à la 42ème minute de jeu. Son équipe l’emportera d’ailleurs sur le Saint-Trond 2 buts à 1.
- Le joueur marocain abderrazak Jadid a participé à la victoire (4-2) de l’AS Eupen sur Charleroi SC. Son but à la 67ème minute a été un but égalisateur qui a finalement permis de galvaniser les troupes vers une victoire finalement acquise.
Championnat de Belgique / Play-off / 3e journée
- En visite chez La Gantoise, le Standard de Liège a étrillé son adversaire grâce à un but du joueur marocain Carcela Gonzalez à la 5ème minute, but qui sera égalisé avant que l’attaquant congolais Mohamed Tchité ne vienne redonner l’avance au Standard. Un avantage qui sera par après confirmé par un autre but qui pour sa part n’est pas africain. A l’arrivée, victoire 3-1 sur La Gantoise.
Championnat des Pays-Bas / 31e journée
- Pa Modou Kah, le joueur gambien de Roda JC a participé à la victoire (5-2) de son équipe sur le VVV Venlo. Il inscrira le 5ème but de son équipe à la 60ème minute. Dans le camp d’en face, un autre but a retenu l’attention. C’est celui de l’attaquant nigérian Michael Babatunde Uchebo à la 86ème minute de jeu. Seulement que son but sera trop court pour assurer la comparaison.
- En recevant Excelcior Rotterdam l’attaquant marocain Ali Boussaboun et le NAC Breda ont été très malheureux de concéder une nouvelle défaite (1-2) lors de cette 31ème journée du championnat. Et pourtant ce sont les joueurs de Breda croyait être sur la bonne voie après avoir égalisé dans un premier temps à la 26ème minute de jeu grâce à Boussaboun. Seulement que ce dernier et les siens ne trouveront pas l’énergie nécessaire après avoir encaissé un second but à la 47ème minute.
Championnat de Suisse / 28e journée
- Deux buts sont à retenir ce samedi pour les joueurs africains qui étaient sur les pelouses suisses ce samedi. Il s’agit des buts du défenseur tunisien Ammar Jemal (23ème minute) et celui du Zambien Emmanuel Mayuka (64ème minute) pour permettre au Young Boys Berne de l’emporter par 4 buts à 0 sur l’AC Bellinzone. Des buts et une victoire qui permet de conforter sa place sur le podium du championnat suisse.
Angleterre / Demi-finales de la Cup
- Yaya Touré, l’Ivoirien barre la voie à Manchester United et fait passer Manchester City en finale de la Cup. C’est la conclusion que nous pouvons tirer au terme de la demi-finale qui a opposé les deux rivaux ce samedi. Un but de l’Ivoirien à la 52ème minute de jeu dans un match très costaud a suffi pour faire plier les mancuniens qui ne réaliseront donc pas le triplé.